Ce qui me rapproche de lui :
« Dans les poèmes d’Emily Dickinson, il n’y aucune différence entre l’inespéré d’un paradis et le très éphémère passage de l’existence, ici et maintenant. J’ai envie d’évoquer une expérience commune, un bonheur d’enfance : l’éparpillement des grains de pissenlit, quand la plante atteint sa maturité, avec sa petite tête blanche de bagnard et que la bouche du vent en détache les éléments. La danse dans l’air du pissenlit, c’est l’impression la plus proche de celle offerte par les poèmes d’Emily Dickinson . » C. B.
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